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Imaginez ! Vous avez entre 18 et 30 ans, vous vous tenez sur le seuil de vos études ou de votre vie professionnelle, vous avez au cœur l’ardent désir de vous lancer dans l’aventure de la vie chrétienne et de faire avancer sur terre le Royaume de Dieu. Mais en même temps vous sentez cruellement votre fragilité et votre incompétence. Autour de vous « la haine et les dogmes qu’on abat », la confusion et l’agressivité du néo-paganisme vous font trembler. Pour échapper à ce désarroi stérile, un groupe de jeunes gens et de jeunes filles eurent la curieuse idée d’écrire une lettre à remonter le temps ! Ils se tournèrent vers le père Calmel, dominicain de la Province de Toulouse, rappelé à Dieu le 3 mai 1975.
A PARAITRE
Imaginez ! Vous avez entre 18 et 30 ans, vous vous tenez sur le seuil de vos études ou de votre vie professionnelle, vous avez au cœur l’ardent désir de vous lancer dans l’aventure de la vie chrétienne et de faire avancer sur terre le Royaume de Dieu. Mais en même temps vous sentez cruellement votre fragilité et votre incompétence. Autour de vous « la haine et les dogmes qu’on abat », la confusion et l’agressivité du néo-paganisme vous font trembler. Pour échapper à ce désarroi stérile, un groupe de jeunes gens et de jeunes filles eurent la curieuse idée d’écrire une lettre à remonter le temps ! Ils se tournèrent vers le père Calmel, dominicain de la Province de Toulouse, rappelé à Dieu le 3 mai 1975.
Une chose les attirait chez lui, une des belles qualités que Dieu lui avait octroyées et qui les résumait toutes : la jeunesse de l’âme.
Tel est l’idéal que le père Calmel transmit jadis, et qu’il livre aujourd’hui encore à la jeunesse de France : le goût des sommets de la prière et de la pensée, la sage adaptation des réalités humaines aux lumières de l’Évangile, l’équilibre chrétien qui soutient sans flancher les combats de la vie, la hardiesse joyeuse au service de Jésus-Christ. N’ayez pas peur, leur dit-il, d’aller jusqu’au bout de la grâce de votre baptême et de votre confirmation. Mettez-vous à l’école de sainte Jeanne d’Arc, de sainte Thérèse de Lisieux, de saint Thomas d’Aquin. Ils vous communiqueront l’audace et la modestie, la clarté de la pensée et la délicatesse du cœur.
C’est de cette jeunesse dont l’Église et la France ont besoin. Elle est de tous les temps et de tous les âges !
Imaginez ! Vous avez entre 18 et 30 ans, vous vous tenez sur le seuil de vos études ou de votre vie professionnelle, vous avez au cœur l’ardent désir de vous lancer dans l’aventure de la vie chrétienne et de faire avancer sur terre le Royaume de Dieu. Mais en même temps vous sentez cruellement votre fragilité et votre incompétence. Autour de vous « la haine et les dogmes qu’on abat », la confusion et l’agressivité du néo-paganisme vous font trembler. Pour échapper à ce désarroi stérile, un groupe de jeunes gens et de jeunes filles eurent la curieuse idée d’écrire une lettre à remonter le temps ! Ils se tournèrent vers le père Calmel, dominicain de la Province de Toulouse, rappelé à Dieu le 3 mai 1975.
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