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L’inquiétude précédant une déflagration imminente, le dégoût naissant de mœurs dégradantes, l’exaspération alimentée par une propagande mensongère, le défaitisme suicidaire des citoyens d’une tyrannie, la fébrilité numérique nourrissant l’illusion de réagir, ces symptômes d’une civilisation rongée par la moisissure ont un effet étonnant. Chez beaucoup, ils font naître une soif de certitude, de calme, de lumière et de force. Et nous voyons des professeurs et des étudiants, des parents et des éducateurs, des juristes et des médecins, des politiques et des économistes, des prêtres et des religieux revenir à saint Thomas d’Aquin.
L’inquiétude précédant une déflagration imminente, le dégoût naissant de mœurs dégradantes, l’exaspération alimentée par une propagande mensongère, le défaitisme suicidaire des citoyens d’une tyrannie, la fébrilité numérique nourrissant l’illusion de réagir, ces symptômes d’une civilisation rongée par la moisissure ont un effet étonnant. Chez beaucoup, ils font naître une soif de certitude, de calme, de lumière et de force. Et nous voyons des professeurs et des étudiants, des parents et des éducateurs, des juristes et des médecins, des politiques et des économistes, des prêtres et des religieux revenir à saint Thomas d’Aquin.
Ce grand ami de Dieu, cet éminent philosophe, ce magnifique théologien, ce pédagogue hors pair, ce chantre de l’eucharistie, ce doux frère se tient aux côtés de ceux qu’il voit peiner dans un monde impossible.
Mais saint Thomas ne se propose pas seulement de les aider à survivre au cœur du cataclysme, il leur apprend à respirer à pleins poumons, à chanter de toute leur âme, à exulter de joie à la vue de ce que Dieu est et de ce qu’il fait. Il forme des chrétiens convaincus et convainquants, embrasés par l’amour de la vérité et rendant témoignage avec hardiesse de ce qu’ils ont reçu.
Le temps qu’il fait nous invite donc à nous tourner vers la sainteté et la mission de ce grand saint du XIIIe siècle. Mais une surprise nous attend. Nous ne trouverons pas ici le seul exposé d’une doctrine, nous allons rencontrer un homme. Et en cet homme, un père compatissant se présente à nous. Mieux encore, en saint Thomas d’Aquin, c’est le cœur de l’Église universelle qui s’offre à notre admiration, la merveilleuse Tradition apostolique, les fascinantes beautés de la clarté de Dieu.
Ouvrez une seule page d’une œuvre du Docteur angélique, vous trouverez la joie, la consolation, la paix et la certitude qui descendent du ciel. Avec l’Église universelle, vous direz de tout cœur : bon saint Thomas, merci !
L’inquiétude précédant une déflagration imminente, le dégoût naissant de mœurs dégradantes, l’exaspération alimentée par une propagande mensongère, le défaitisme suicidaire des citoyens d’une tyrannie, la fébrilité numérique nourrissant l’illusion de réagir, ces symptômes d’une civilisation rongée par la moisissure ont un effet étonnant. Chez beaucoup, ils font naître une soif de certitude, de calme, de lumière et de force. Et nous voyons des professeurs et des étudiants, des parents et des éducateurs, des juristes et des médecins, des politiques et des économistes, des prêtres et des religieux revenir à saint Thomas d’Aquin.